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LA VÉRITABLE ORIGINE DE L’HUMANITÉ
27 novembre 2020

NOS CHIENS ET LEURS PUCES... (électroniques)

 

NOS CHIENS ET LEURS PUCES... (électroniques)

L'identification automatique (Auto-ID), un vol d'identité et un intolérable abus de pouvoir.

Nous dirigeons-nous vers un nouvel anéantissement de l'espèce humaine ?

Monde étrange, et dangereux, où les ordinateurs souffrent des attaques de virus informatiques, où bientôt nos animaux de compagnie devront subir la présence plus que suspecte, et obligatoire, de puces électroniques.
Nos chiens, mais aussi nos chats, nos chevaux, demain seront implantés avec ces terribles mouchards.
Demain les chiens, les chats, les chevaux, et après-demain nos enfants, sous l'oeil ubiquitaire de Big Brother.
S'il me fallait résumer en un seul mot tout ce que je pense, tout ce que je ressens, et tout ce que je pressens à propos de la prochaine généralisation des micropuces électroniques, je crierais : NON !

Les espions de Big Brother

Demain-les-Chiens- Simak« Demain, les chiens » est le titre d'un roman de science-fiction écrit par Clifford D. Simak en 1952. On y décrit un monde futur où l'homme n'existe plus, victime de sa folle cupidité, un monde où l'homme est devenu une mystérieuse légende. Et dans ce monde les chiens ont acquis la parole et s'interrogent longuement à la veillée : les hommes ont-ils existé ? Et si oui, pourquoi ont-ils été anéantis ?

La science-fiction est à n'en pas douter un art majeur, et ses auteurs une version moderne des antiques sibylles, en tout cas pour moi, et pour tous ceux qui s'intéressent à l'inconscient et à la psychologie des profondeurs.
Quand Aldous Huxley écrit « Le meilleur des mondes », en 1931 ; lorsque George Orwell imagine son « 1984 » peu après le Seconde Guerre mondiale, se doutent-ils que leurs intuitions terrifiantes vont devenir des réalités, aussi rapidement et avec autant d'ampleur ?

Le fameux « Big Brother » pressenti par Orwell, tyran anonyme, impérialiste et mondialisateur, maître absolu d'une société aseptisée, hypersécurisée et déshumanisée, est bien ce « grand frère » qui, au prétexte de nous rassurer, de nous protéger, va imposer partout ses « radio tags » ou RFID (pour Radio Frequency Identification), étiquettes électroniques invisibles, de la taille d'un point, introduites dans tous les produits de consommation courantes comme les vêtements, mais aussi très bientôt dans les billets de banque.
Plus vicieux, le mouchard miniature introduit sous la peau dès la naissance et pour le restant de nos jours.
Vingt ans après l'année fatidique du livre de Orwell, voici que la réalité outrepasse la fiction, voici que semble advenu cet épouvantable « meilleur des mondes » pressenti par Huxley.
Et on pourrait citer bien d'autres exemples de ce réalisme visionnaire dans cette littérature plutôt méprisée, à commencer par de très grands classiques comme l'Apocalypse de Saint-Jean où est clairement préfiguré le marquage systématique des troupeaux humains au chiffre de la Bête. D'ailleurs la micropuce a été nommée par ses concepteurs « digital angel », Ange de l'Apocalypse ou ange gardien d'une prison dorée, qui de plus en plus ressemble à un agent de la police secrète.

Pourquoi ne pas l'appeler Gestapeau ?
La littérature d'imagination se révèle un art majeur quand elle exprime certains messages et avertissements issus des couches les plus profondes de l'inconscient collectif, afin de compenser l'unilatéralité de notre conscience collective, afin surtout de nous mettre en garde contre cet aveuglement, ce « somnanbulisme infantile » (Jung) qui peut nous conduire à la pire des catastrophes.

Le conte de fées, le conte fantastique et le roman de « SF » sont à la conscience collective ce que le rêve est à la conscience individuelle, une source d'informations inépuisable, un guide fidèle sur le chemin qui mène à Soi.
« C'est pour votre bien »
« Demain, les chiens »... et après-demain nos enfants. Ces derniers mots ne constituent pas le titre d'un ouvrage de science-fiction. C'est simplement une réalité, notre réalité, ici et maintenant.

Et bien sûr, c'est pour notre bien ! Dans un monde où « le mensonge a été élevé à la dignité de principe fondamental de l'action politique » (écrivait Jung en 1954), les hommes de pouvoir et d'argent dont les opérations frauduleuses défrayent quotidiennement la chronique n'ont à l'évidence qu'un seul but : notre bonheur.

D'abord les animaux, pour nous habituer en douceur, nous faire peu à peu accepter l'inacceptable et tolérer l'intolérable. Anodin. L'implantation indolore sous la peau d'une micropuce électronique dotée d'une pile au lithium, un microdélateur susceptible de contenir de multiples informations sur son porteur.
« Ainsi on ne pourra plus vous le voler ».
Voler qui ? Kiki. Le chien, le chat, le cheval. Mais pourquoi les enfants ? Alors « on » nous assène jusqu'à en vomir tous les rapts et enlèvements, viols et meurtres d'enfants, faits divers ressassés et amplifiés en images à la télévision au moment du repas familial. Corps disparus, retrouvés décomposés mutilés, deuils impossibles, tous les jours et en gros plan. Alerte au pédophile, au preneur d'otage, au maître chanteur. Arguments forts.

Comme toujours, susciter, exacerber la peur, afin de susciter, exacerber la recherche frénétique de sécurité. À n'importe quel prix. Quelles que soient les conséquences. Comme pour les vaccins, ou comme pour le fluor que les nazis utilisaient déjà voilà 60 ans en mélange dans l'eau pour abrutir les peuples conquis. Donnant-donnant. Liberté contre sécurité. Marché de dupes.
Lecture code-barres nouvelle génération. Signal numérique lu par une multitude de détecteurs parfaitement invisibles, dans la rue, dans les lieux publics, car « il est plus simple qu'un objet annonce son identité plutôt que de chercher à le reconnaître ». Un objet ? Traçabilité. Suivre à la trace et identifier chaque objet porté, ou chaque individu porteur d'un objet mouchard. Sécurité absolue. Et totale aliénation. Pour chacun d'entre nous, un numéro de série à 18 chiffres divisés en trois lignes de 6 chiffres. Quelque chose comme 666, une très vieille histoire...

Se poser les bonnes questions, et en premier lieu : est-il vraiment anodin de porter à demeure, enkysté dans sa chair, un émetteur-récepteur contenant un élément toxique, le lithium, qui provoquera un douloureux abcès au cas où la puce serait brisée ?
Certes non, mais qu'importe, « on » nous a habitué à accepter l'inéluctabilité des « dommages collatéraux ». « On » ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs.
Et puis de toute façon c'est OBLIGATOIRE.
Demain les chiens, après-demain nos enfants. Le bonheur et la sécurité sont obligatoires. Mais bien sûr, avant les chiens et les enfants d'Europe « on » a implanté les braves militaires déjà lobotomisés et survaccinés, et le personnel décérébré de grandes sociétés dans certains pays anglosaxons, et puis tous les péteux qui le souhaitent et qui payent pour ça, aux États-Unis et dans de nombreux autres pays. La Colombie, le Brésil, le Mexique veulent généraliser l'implantation humaine pour repérer très vite les victimes d'enlèvement.
Un fléau, une véritable épidémie, mais un total succès pour Big Brother qui a toujours su distiller le poison de ses mensonges afin de mieux faire passer l'amertume de ses lucratifs contrepoisons.

Déjà, il est possible aux vétérinaires de se procurer tout le matériel nécessaire aux implantations. Demain, il ne sera plus possible de déplacer chiens, chats et chevaux qui n'auront pas été implantés. Sans la puce, plus d'accès possible aux lieux de rassemblement, épreuves sportives ou concours de beauté, mais aussi accès interdit aux lieux publics tels que les campings. À quand les contrôles surprise dans la rue ? Et l'euthanasie des animaux non identifiés ?

Big Brother is watching youLa CNIL, Commission Nationale Informatique et Libertés, s'est vu retirer récemment son pouvoir de censure à l'encontre des manoeuvres totalitaires de Big brother. La CNIL a eu les ailes brisées et à présent la voie est libre.

Demain, dissémination massive des identifiants électroniques. Opération routinière et sécurisante, banalisation du geste comme pour la vaccination ou la castration, mutilations rituelles pour le confort du parent ou du propriétaire, effectuées avec le sourire et en parlant de la pluie et du beau temps.

Demain, profilage général des individus par lecture des mouchards présents dans les emballages alimentaires, les vêtements, les billets de banque. Abolition de la vie privée, mutilation imposée de toute pensée non conforme.

Demain. Une petite étoile jaune sous la peau, pour tous, obligatoirement.

Il faut dès lors beaucoup de conscience éthique, et beaucoup de courage pour résister et dire NON ! Pour refuser il faut être informé. Et pour cela accepter d'être informé, accepter d'écouter et d'entendre, de réfléchir et de dire mais...
Mais... La puce ne peut-elle induire des désordres dans le fonctionnement électromagnétique du corps vivant ? Perturber l'harmonie et l'équilibre de ces énergies subtiles qui parcourent les méridiens définis par l'acupuncture traditionnelle ?
Évidemment qu'elle le peut. Demain elle pourrait bien servir à ça, induire une perturbation dans les circuits neuronaux, tel jour et à telle heure, une effraction de notre monde intérieur, silencieuse et précise comme un acte chirurgical. Le martèlement des bottes dans nos jardins secrets, n'importe quand, n'importe où, toute notre vie.

La pile au lithium est inépuisable car elle se recharge automatiquement grâce aux variations de la température corporelle. C'est pourquoi chez l'humain elle sera implantée, elle est implantée, au milieu du front, à la racine des cheveux, ou au revers de la main, lieux favorables à cet entretien du mouchard.
Souriez, vous êtes filmés.

Les puces sont des parasites, et celles-ci n'échappent pas à la règle.
Les puces, les vraies, sont des parasites externes, porteuses de maladies jugées graves et contre lesquelles on nous impose de vacciner et revacciner. C'est obligatoire.
Mais ces puces-là, électroniques, parasites internes installés à demeure, que transporteront-elles ? Des informations. Des milliers d'informations personnelles, confidentielles, concernant notamment notre trajectoire biographique, notre situation de famille, nos ressources financières, nos goûts en littérature, nos préférences sexuelles, nos antécédents médicaux, et puis bien sûr nos empreintes digitales ou mieux, notre génome complet avec description de ces « mauvais gènes » qui prédisposent à un certain nombre de tares socialement inacceptables.
Des milliers d'informations stockées. Repères signalétiques. Fichage. Analyse du signal numérique. Etes-vous à jour de vos vaccinations ? Non ? Alors dommage, vous ne pouvez entrer dans cet hôpital, acheter ce médicament, accéder à cet emploi, prendre cet avion, mettre votre enfant à l'école... Vous ne pouvez plus vous déplacer, ni acheter ni vendre. Vous êtes un paria. Mais il y a pire.

Émetteur-récepteur, la puce peut devenir très vite un redoutable espion miniature, à l'affût de ce que vous êtes, de ce que vous avez fait hier mais aussi de ce que vous faites aujourd'hui. Un oeil invisible braqué sur chacun de vos gestes.
Demain, les porteurs de micropuces électroniques pourront être repérés et suivis à la trace par des satellites d'une précision telle qu'ils peuvent d'ores et déjà lire votre journal par-dessus votre épaule. Où que vous soyez, quoi que vous fassiez, dans le plus intime de votre vie privée, vous serez observés, filmés par les espions de Big Brother.

Remarquez, il est déjà possible de reconstituer un itinéraire grâce aux opérations effectuées avec la carte bancaire ; il est déjà possible de repérer et suivre quelqu'un dès lors que son téléphone portable est activé. Alors, on n'est plus à quelques puces près, si discrètes qu'elles ne provoquent aucune démangeaison. Après tout c'est bien pratique, et puis c'est pour notre bien.
Mais il y a encore pire.

Manipulation

Nous vivons depuis toujours dans un champ d'énergie infiniment complexe, une infinité de champs vecteurs de milliards d'informations en provenance du coeur de la planète et des confins les plus éloignés du cosmos. Le corps vivant contient naturellement de multiples antennes, des émetteurs-récepteurs biologiques qui lui permettent de donner et recevoir des informations, de s'adapter, d'évoluer par un constant dialogue entre monde intérieur et monde extérieur. Chaque organisme, chaque organe, chaque tissu, chaque cellule, communique ainsi à tout instant avec l'univers. Le cerveau, la molécule d'ADN et l'atome de carbone sont parmi les plus performantes de ces antennes biologiques.TOUT EST RELIE.
Ultérieurement, l'homme a créé ses propres champs, ses propres sources d'émissions électromagnétiques, pour transmettre des informations sonores et visuelles aux quatre coins du monde. Pour cela, il faut des émetteurs puissants, des circuits très complexes, des relais, des antennes, des satellites de plus en plus nombreux et performants, un quadrillage d'ondes si serré qu'il modifie peu à peu le champ électromagnétique de la planète, et avec lui le climat mondial, générant ici des inondations, là des sécheresses dramatiques et des incendies géants. DES ONDES PARTOUT.

La multiplication et la généralisation des moyens médiatiques ont ainsi permis d'entrer dans chaque foyer, d'imposer en temps réel images et sons en provenance de chaque recoin de la planète. Dans le but de communiquer et d'informer certes, mais avec la possibilité de perturber, influencer et manipuler selon la nature, le nombre et l'intensité des messages soigneusement choisis et habilement trafiqués. La violence intolérable d'une guerre, d'un meurtre ou d'un accident est ainsi filmée en direct, immédiatement transmise, reçue et absorbée en famille avec le repas, juste avant les jeux débiles ou le match de foot truqué. La violence est ainsi banalisée, d'autant plus qu'une confusion s'installe entre la réalité et la fiction. S'agit-il d'un film, d'un jeu vidéo ou d'un fait divers ? Qu'importe. Dès lors toute violence devient acceptable, à condition qu'elle touche un autre, ailleurs, à l'autre bout du monde ou à l'autre bout du palier.

Mais est-il possible d'influencer quelqu'un en permanence, ou à volonté quand le besoin s'en fait sentir ?
Est-il possible de continuer à crétiniser le bétail humain lorsque tous les téléviseurs sont éteints ?
Outre le matraquage publicitaire et médiatique, il y a bien sûr tous les médicaments administrés en routine, pour dormir, ne plus avoir mal, ne plus avoir peur, ne plus ressentir quoi que ce soit, et qui modifient profondément et durablement les fonctions psychiques et le comportement. L'abolition du ressenti, la mise à mort des pulsions et des émotions, l'impossibilité grandissante à réfléchir et à penser, permettent de faire accepter l'inacceptable, tolérer l'intolérable. NOUS SOMMES DEVENUS LES MOUTONS DE PANURGE.

Il y a aussi les nouveaux vaccins soupçonnés de contenir des molécules d'ADN de synthèse, antennes constituées de molécules organiques fabriquées en laboratoire, susceptibles de recevoir des informations extérieures qui vont subtilement modifier le métabolisme, les synthèses hormonales, le fonctionnement du système immunitaire et du système nerveux.

Et à présent il y a beaucoup mieux, la transformation programmée de chaque citoyen en jouet télécommandé.

I robotI, robot !
Avec la micropuce électronique implantée sous la peau du front, la manipulation va devenir soudain plus simple, radicale, imparable.
Récepteur parfait, inaltérable, elle pourra un jour capter certaines ondes émises de n'importe quel point de la planète, relayées par satellite, qui vont dès lors influencer directement le fonctionnement cérébral, achever d'abrutir les masses, anéantir la volonté, effacer la mémoire, dicter des ordres, provoquer tour à tour et sans résistance possible la colère, la haine, la peur, la violence ou l’indifférence.
Toute contrainte collective imposée par la force d'un abus de pouvoir, telle qu'une vaccination de masse ou l'implantation obligatoire d'une micropuce électronique, abolit très rapidement la conscience et la liberté individuelles et transforme l'humanité en un troupeau d'esclaves anonymes, résignés et soumis, capables sur ordre des pires crimes contre l'humanité. Le retour des Anunnakis créateurs de l'Homme-esclave.

Robot est un film de science-fiction américain, librement inspiré des romans d'Isaac Asimov, réalisé par Alex Proyas et sorti en 2004. On sait oh! combien la réalité à rejoint et dépassé la fiction même si vous n'êtes pas conscient de cet état de fait.

Mais n'est-il pas déjà trop tard ?
Au bout de la laisse de votre toutou implanté, bardé de cartes magnétiques, avec votre téléphone numérique greffé à l'oreille, vous êtes déjà une cible facile à localiser, où que vous soyez, par les espions de Big Brother.
Alors n'y pensez plus, refermez ce canard subversif, oubliez ces foutaises paranoïaques à peine dignes d'un mauvais roman.
Rentrez tranquillement chez vous, allumez la télé, prenez vos comprimés.
Et surtout ne vous faites plus de soucis.
« On » pense pour vous, et c'est pour votre bien.

 

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