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LA VÉRITABLE ORIGINE DE L’HUMANITÉ
26 juillet 2020

Quand le Ciel devient gris, quand les Astres deviennent noirs

 

Quand le Ciel devient gris

Quand les Astres deviennent noirs

 

VegaLyreSolangeVega couleurs inversées« ...SILXTRA est notre Terre, c'est très loin. Mais pour nous, la distance ne compte pas, car l'esprit voyage dans l'esprit. Le temps d'une pensée est plus rapide qu'un trait de lumière. Malgré cela, nous t'avons appelé et tu as failli venir à notre portée. Nous connaissons mieux ta longueur d'onde depuis quelques instants; sois prêt... »

C'est à ce moment du message que mon ami Belge m'interpella et me toucha le bras. Sorti de cet état second, je me précipitai sur une feuille de papier et j'inscrivis le message pour ne pas l'oublier.

Lorsque mon ami Belge me toucha le bras, je vis dans mon cerveau comme un énorme flash éblouissant qui me fit terriblement sursauter et provoqua de fortes palpitations pendant quelques minutes.

Je fis lire le message à mon ami, qui trouva cela extraordinaire et sensationnel (il faut dire que mon ami n'était pas habitué à assister à ce genre de phénomène). Après avoir commenté un instant le message, mon ami me laissa seul, pour ne pas interférer dans la suite éventuelle du message; car nous tenions compte des deux derniers mots du message précédant: « ...SOIS PRÊT... ».

Effectivement, vingt minutes après son départ un nouvel état second m'envahit, mais cette fois mes facultés motrices étaient toujours présentes. Un peu comme un automate, je me levai de mon fauteuil pour écrire le message qui arrivait et qui est le suivant:

« ...ATTENTION. La conjugaison des pensées nocives des hommes de ta planète forme actuellement une masse d'énergie psychique négative, capable de provoquer très bientôt des bouleversements géologiques considérables. Des failles internes, que vous ne pouvez soupçonner pour l'instant, vont menacer un secteur de votre planète, sur une courbe de 5 000 Km, du sud des Indes jusqu'à la mer Méditerranée, où il est possible que de nouvelles îles naissent.

Si les forces psychiques en question atteignent leur paroxysme, de grandes surfaces de la Terre seront dévastées. Mais une découverte de vestiges très anciens ressurgissant dans les séismes ouvrira des horizons nouveaux dans vos connaissances scientifiques concernant une certaine civilisation disparue depuis plusieurs dizaines de milliers d'années. Nous t'offrons cette révélation à titre personnel.

C... » La première lettre d'une phrase suivante s'est amorcée, puis le contact a été coupé. Le lendemain, mon ami Belge prit connaissance de la suite de cette deuxième partie du message; il la tapa à la machine et j'en fis des photocopies.

Le même jour, j'en parlai à des parents qui lirent le message; je lus sur leur visage le scepticisme le plus parfait. Je fis lire également le message à quatre autres personnes ne se connaissant pas intimement  et appartenant à des milieux différents les uns des autres, puis à une autre personne encore plus sceptique.

Je peux fournir les noms et adresses de ces personnes, trois sont sceptiques à 100% en ce qui concerne le phénomène O.V.N.I , les Extraterrestres et le « surnaturel »; elles le sont encore bien plus lorsque je leur parle de mes contacts.

Le message télépathique dont je viens de vous parler s'est passé le 20 Novembre 1974 dans la nuit du 22 au 23 décembre, je crois (je ne puis préciser le jour exact pour l'avoir oublié et ne pas avoir gardé les journaux qui en parlaient.) (NDLR. En fait, il s'agit exactement du 28 décembre).

Cette nuit là, donc, un séisme d'une ampleur exceptionnelle a fait 4 000 morts au PAKISTAN. On peut remarquer la valeur relative du terme: « ...très bientôt... » contenu dans le message par rapport à la date du séisme, soit 33 jours entre le message et le séisme.

Devant la preuve que je leur apportais, certains sceptiques ne pouvant concevoir qu'un être humain de notre planète reçoive des messages télépathiques de provenance extraterrestre, m'ont rétorqué que, dans ces contrées orientales, la terre tremble tous les jours et donc, que je n'ai pas eu de peine à monter de toutes pièces ce petit stratagème de contact télépathique...

D'autres, encore, tel mon propre oncle (nul n'est prophète en son pays), m'ont déclaré que, puisque mes messages télépathiques sont si réels, je devais en informer les autorités, afin d'éviter tous ces morts en faisant évacuer ! Et que si je n'agis pas de la sorte, c'est que mes contacts télépathiques ne sont que fumisteries de ma part.

Que dire devant l'ironie d'esprits si peu ouverts à ce qu'ils ignorent, et dont ils n'ont aucune connaissance ?... Les gens qui parlent de cette façon, n'ont aucune idée de ce qui se passe en moi lorsque je reçois des messages de cette importance et de cette gravité.

Tout d'abord, je suis chaque fois toujours stupéfait de ce qui m'arrive... de cette faculté de réception télépathique; sans compter le doute qui m'assaille et le manque de précision du message quant à la situation du lieu exact où le sinistre va avoir lieu...

« JE VOYAGEAIS DANS L'ESPACE »

Prévoyant les sarcasmes du genre « ...Vous avez rêvé... », je dois signaler, avant le récit de ce contact, que la veille de celui-ci je m'étais couché à 20 heures et que j'avais, cette nuit là, magnifiquement dormi. Le jour où ce contact télépathique m'a surpris, il était trois heures quarante cinq du matin. J'étais sur le lieu de mon travail, assis à mon bureau. La nuit était belle. C'était dans le courant du mois de décembre, je ne puis me souvenir de quelle année, je ne l'ai pas noté; en tout cas, c'était entre 1974 et 1976.

J'étais donc assis à mon bureau où j'effectuais des calculs de pointages sur des fiches horaires pour le compte du service du personnel de la société qui m'emploie. Ce jour là, j'étais particulièrement en bonne forme, et je travaillais avec facilité. De temps en temps, je levais les yeux de mes papiers pour effectuer mentalement certains calculs simples, lorsque soudain, je fus pris d'une étrange torpeur qui me figea dans mon dernier geste, et fixai mon regard dans le vide, devant moi. Je dois signaler que, malgré cela, j'étais parfaitement conscient et lucide.

Puis, peu à peu, tout en restant conscient de ce qui m'arrivait, mon cerveau se vida de toutes pensées parasites. Tout devint gris clair autour de moi. Je ne voyais plus la pièce et les meubles qu'elle contenait.

Cet espace gris prit de la profondeur. Je me sentis tout à coup très léger. J'avançais, flottant dans cette profondeur de champ de couleur grise, qui se constellait progressivement d'une multitude de points noirs, lointains, qui avançaient de plus en plus vite vers l'arrière. Puis, je fus stupéfait de constater que je me trouvais soigneusement sanglé sur un siège confortable placé au centre, devant et à l'intérieur d'un dôme translucide hémisphérique; ce dôme étant en position verticale, afin de pouvoir voir vers l'avant en étant assis, semble-t-il, sur un niveau horizontal (quoique cela ne voulait rien dire, car je n'avais plus la notion du haut et du bas).

Je voyais toujours cet espace gris constellé de points noirs qui défilaient vers l'arrière, maintenant, à une vitesse vertigineuse. Je fus très étonné de ne pas avoir de malaise car, habituellement, je suis sujet au vertige et au mal de mer.

Puis, en l'instant d'une minute, le « tableau » changea progressivement. L'espace devint bleu marine très foncé et les points noirs devinrent blancs lumineux. J'étais moins dépaysé en voyant maintenant les couleurs et l'aspect normal d'un ciel étoilé par une belle nuit d'été.

(NDLR. Selon l'enseignement qui nous est donné, la couleur du ciel résulte de l'interaction entre la lumière du Soleil et les molécules et particules de l'atmosphère terrestre. Cependant, même si rien, à ma connaissance, ne nous a jamais été révélé à ce sujet, il n'est point idiot de considérer le fait, qu'en toute logique, la couleur apparente du ciel et des étoiles que nous percevons depuis notre planète, n'est dû qu'à notre atmosphère. Une fois sortis de celle-ci, les couleurs changent et nous les percevons différemment. Le ciel bleu, qui n'est en fait que l'espace sidéral, devient gris et les étoiles, y compris notre soleil, points clairs et lumineux, deviennent sombres et sans éclat. C'est exactement ce que nous narre notre ami voyageur spatial.)

A ma grande stupéfaction, maintenant, je n'en pouvais plus douter, je voyageais dans l'espace. Il y eût manifestement un ralentissement, mais les étoiles n'en défilaient pas moins encore assez vite. Je constatai rapidement que je ne reconnaissais pas les constellations que je voyais. Je m'aperçus que, devant moi, au centre de la masse d'étoiles qui s'écartaient de part et d'autre, l'une d'elles grossissait très rapidement; à tel point qu'en moins de cinq minutes, je ne pus plus la regarder qu'en clignant fortement des yeux, jusqu'à être obligé de les fermer.

Quand je les rouvris, environ dix minutes après, j'eus la surprise de voir que ce n'était plus la nuit au milieu de laquelle trônait l'étoile aveuglante, mais comme une aube qui se levait autour d'une magnifique planète. Cette planète était énorme et avançait vers moi en grossissant lentement, et en se déplaçant vers la gauche.

Elle était entourée d'une atmosphère bleue, s'éclaircissant vers la surface. A l'extérieur et autour de cet épais halo bleuté filtrait un ciel, dans la gamme prédominante de rouges, oranges et jaunes; ceux-ci (les jaunes) étant tournés vers l'intérieur du spectre, c'est-à-dire vers la surface de la planète. A partir de huit cents mètres d'altitude (appréciation visuelle tout à fait gratuite, les profondeurs, distances et altitudes étant très difficiles à apprécier dans l'espace), je pouvais voir la beauté de l'atmosphère presque sans nuage, d'un bleu pur et très particulier, éclairé par un soleil radieux qui dispensait la chaleur et la vie à d'immenses forêts qui recouvraient la presque totalité de la surface de ses trois gigantesques continents, troués de multiples mers et immenses lacs intérieurs, truffés de petites îles parfois volcaniques.

Pendant que les étoiles "s'éteignaient" une à une, je m'inquiétai soudain d'une intense luminescence jaune vif, comme du feu, qui entourait le dôme sur l'extérieur de l'encadrement où il paraissait être fixé. Inquiet, je me retournai pour voir ce qui se passait derrière moi (réflexe de panique), mais le dossier rembourré du fauteuil sur lequel j'étais assis confortablement m'empêchait de voir quoi que ce soit.

Pendant ce temps, le véhicule spatial qui me transportait évoluait déjà parallèlement à l'horizon encore légèrement courbe de la planète, en perdant peu à peu de l'altitude. Puis, la nuit tomba rapidement et je vis, ça et là, des paquets de lumières qui défilaient sous moi. Je pensai que c'étaient des villes, mais c'était encore indistinct.

Je crois bien avoir aussi survolé la gueule béante d'un volcan. Au bout de ce qui m'a paru représenter plusieurs heures, l'aube pointa; et là, ce que je vis était immensément beau. Je n'avais jamais rien vu d'aussi beau.

Je me sentis inexistant par rapport à la beauté et à la puissance de cet astre... Mais la vitesse était encore grande, car je fus rapidement ébloui par un énorme lever de soleil sur un ciel bleu azur, presque turquoise, qui monta très vite, pour me laisser voir le sol de la planète en plein jour. Je pus constater que le volume de cette planète était au moins vingt fois celui de la Terre. A un moment, il y eût arrêt en douceur, stabilisation et basculement du dôme en arrière, pendant que mon siège reculait d'au moins deux bons mètres. Le bord du dôme translucide s'était positionné à 45° vers l'arrière, par rapport à sa position verticale ancienne.

Dans la clarté du jour, je pus me rendre compte que notre véhicule spatial avait la forme discoïdale, surmonté d'un hémisphère translucide d'un diamètre d'environ six mètres, appartenant lui-même à une sphère mobile encastrée dans le disque extérieur. Le disque était fait d'un métal argenté légèrement lumineux, pouvant tourner dans tous les sens et à volonté autour de la sphère, sans modifier la position de l'occupant se trouvant en position supposée normale, dans le sens de la marche de l'engin.

L'engin descendit jusqu'aux environs de 500 mètres et cela très lentement. Il s'arrêta et plana pendant quelques minutes au dessus d'une vaste mer bleue, bordée d'une large et longue plage de sable jaune par endroits et parfois rouge ailleurs.

L'engin s'immobilisa de nouveau pendant quelques minutes. Je m'aperçus que j'étais au dessus d'une mer intérieure dont la côte était bordée de bois. Je pus percevoir au loin, des arbres exotiques, palmiers et bananiers, près de la plage, sur une bande de 1 km. A partir de là, et vers l'intérieur, c'étaient des arbres plus grands et de fort diamètre; ceux-ci me paraissaient être de la famille des cognassiers, s'apparentant assez bien avec les pins à aiguilles de la Terre.

L'engin remonta rapidement jusqu'à environ mille mètres, et fonça vers un autre continent. Les minutes passèrent, puis il ralentit et survola un merveilleux continent où se côtoyaient, semble-t-il, toutes les essences d'arbres et de fleurs dont certaines m'étaient familières mais beaucoup d'autres inconnues. Puis, apparurent des prairies et des terres cultivées, traversées par des canaux artificiels se jetant dans de grands fleuves naturels, souvent enjambés sur 1 km et plus, par de larges ponts sans arche, sans pilier et sans câble; seulement faits d'une fine bande de — béton ?majestueusement galbée d'une rive à l'autre.

Aux extrémités de ces ponts, on pouvait voir des routes passant sous les arbres des forêts, à l'intérieur desquelles s'élevaient des agglomérations formées de bâtiments de toutes les dimensions. Ces bâtiments, aux allures artistiques, s'accordaient parfaitement avec l'harmonie de la nature. Ces villes s'intégraient en formes, en masse et en couleurs aux milieux naturels dans lesquels elles avaient été implantées.

Je n'ai jamais pu dessiner de mémoire, ni même décrire les formes architecturales des habitations, tant cela ne ressemble à rien de comparable à ce que j'ai déjà pu voir sur Terre; je ne puis dire qu'une chose à ce sujet: c'est qu'en faisant preuve de beaucoup d'imagination, on pourrait, à la rigueur, comparer le style à du « LECORBUSIER », en beaucoup plus beau et plus harmonieux.

Sur, ou au dessus des ponts qui enjambent les fleuves, des véhicules « terrestres » évoluaient. A mille mètres d'altitude, je ne pus voir que les couleurs et non les formes de ces véhicules; c'était trop imprécis pour pouvoir les décrire. Les fleuves, comme les mers et les lacs intérieurs étaient bordés de larges plages.

A l'intérieur des continents, j'ai parfois survolé des aires de — béton ? — de vingt km de côté, sur lesquelles pouvaient se voir des bâtiments sobres et cubiques, surmontés de hautes tours carrées aux toits hémisphériques et sphériques, lisses et argentés, hérissés d'antennes et de ce qui pouvait faire penser à des radars. Parfois, de petites sphères aériennes argentées planaient au faîte des arbres des forêts.

A un moment, sortant d'un continent, l'engin fit un piqué rapide jusqu'à 50 mètres au dessus de la mer où flottaient des sphères translucides de 15 à 20 mètres de diamètre. L'hémisphère immergé était de couleur opaque et coupé de l'hémisphère translucide par un plancher métallique percé d'un orifice circulaire central, entouré d'un petit garde-fou en tube.

Sur ce plancher sous globe translucide, se reposaient des êtres humains, hommes et femmes en maillots de bain. Au moment de leur survol, ils me firent de grands signes amicaux de la main. Je ne pouvais, hélas, leur répondre, car j'avais les avant-bras immobilisés aux accoudoirs du fauteuil.

Une vingtaine de km plus loin, au large, lorsque l'engin fit un « rase-mottes » au ralenti, à 200 mètres d'altitude, je survolai un secteur où des cylindres métalliques mi-transparents, flottaient en se balançant doucement. Ces cylindres émergeaient d'au moins soixante mètres au dessus de la mer. Dans la partie supérieure qui était faite d'une matière transparente, on apercevait une douzaine d'étages intérieurs. Ces cylindres devaient bien avoir trois cents mètres de diamètre; on voyait très bien des disques volants posés sur la plate-forme supérieure.

Plus loin (30 km environ), l'engin piqua lentement jusqu'à vingt mètres d'altitude au dessus du niveau de la mer, à un endroit relativement peu profond  (25 mètres env.), et je pus voir sous la mer, plusieurs— villes? — sous d'énormes coupoles translucides très légèrement fumées. Ces coupoles devaient bien avoir cinq km de diamètre. Ces — villes sous-marines ? — étaient composées de bâtiments cubiques et rectangulaires aux angles fortement arrondis. Ces énormes — Villes — sous globes, où je ne vis aucun être vivant, étaient reliées entre elles par des tunnels également en matière translucide et semblaient être simplement déposées sur le fond; mais je ne pouvais pas très bien en distinguer tous les détails, malgré la limpidité de cette mer d'huile.

Sur le sol, à l'intérieur de ces coupoles, on pouvait distinguer, dans les espaces vides, entre les bâtiments, de grands tas de ce qui semblait être un minerai de couleur jaune et brillant. Il y avait aussi des tas de métal argent et d'autres, ressemblant à de la craie ou de la chaux; en tout cas, de la même blancheur mate.

Sur l'un des continents, très montagneux celui-ci, je survolai un énorme cratère, d'au moins dix km de diamètre. Ce cratère se situait au ras du sol, entre des montagnes à végétation luxuriante. La profondeur de ce cratère était d'environ trois cents mètres. Du fond presque plat de ce cratère, jaillissaient de nombreux geysers montant en jets d'eau chaude et trouble, jusqu'à cinquante mètres de haut pour les plus puissants. L'engin dépassa ce cratère et se remit sur la tranche, pour monter à la verticale, à une vitesse fantastique. En moins de trente secondes, il faisait déjà nuit, et les étoiles étaient là de nouveau.

Au bout de cinq minutes, la planète était devenue grosse comm e une orange, et disparut très rapidement. Je cherchai en vain à reconnaître son soleil, qui avait maintenant pris place parmi les myriades d'étoiles.

Puis, je ne me souviens plus de rien d'autre.Tout s'est terminé par un flash lumineux dans mon cerveau, et je me suis retrouvé assis à mon bureau, exactement dans la même position que j'avais lorsque tout a commencé, c'est-à-dire: le buste vertical, la main gauche posée à plat sur ma feuille de calcul, le coude du bras droit appuyé sur mon bureau; la main droite qui tenait le crayon était suspendue dans le vide, dans son dernier mouvement, à une vingtaine de centimètres au dessus de ma feuille de calcul. J'avais le regard dirigé horizontalement devant moi.

Sans transition (mis à part le coup de flash), tout était redevenu normal. Comme d'habitude, après chaque contact, je me suis empressé de vite écrire ce que je venais de voir, pendant que le souvenir était encore frais.

Ce « voyage télépathique » dans l'espace et autour de cette magnifique planète, dura plusieurs heures, alors qu'en réalité il ne s'est matériellement écoulé que cinq à sept minutes. Ce contact télépathique un peu particulier n'était absolument pas un rêve comme pourront encore le soutenir les sceptiques.

Au cours du « voyage », à l'intérieur de l'engin, tout était absolument et parfaitement net; je sentais mon corps reposer sur le fauteuil; je ressentais l'état d'apesanteur dans l'espace; mon odorat percevait, à l'intérieur de l'engin, l'odeur du plastique dont était recouvert le siège sur lequel j'étais assis; je ressentais parfaitement bien les impressions d'accélérations et de piqués..

Ce que je voyais était aussi net et coloré que si j'étais en face de vous en train de discuter dans ma salle à manger. De plus, si je m'étais endormi et si j'avais rêvé, à mon réveil, je me serais retrouvé « affalé » sur mon bureau, la tête et les bras reposant sur mes papiers. Au lieu de cela, je me suis retrouvé le buste droit, appuyé nulle part, le regard et donc la tête bien droite, et la main droite, tenant toujours le stylo, suspendue dans le vide, figée dans son dernier mouvement. J'avais les yeux grands ouverts, et lorsque le contact fut terminé, je ne ressentis aucune torpeur, aucune fatigue ni envie de dormir.

Je dois avouer que ce contact télépathique concernant mon « voyage » autour d'une planète lointaine inconnue, doit être difficile à « avaler » pour qui n'a pas vécu cette aventure fantastique... Mais je n'y puis rien... moi seul peut croire une chose pareille, puisque je l'ai vécue.

En fermant ce livre, beaucoup seront tentés de penser que je veux créer une nouvelle religion ou une secte. Je tiens à détromper ceux qui penseront de la sorte.

La vérité n'a nul besoin de se transformer en religions, sectes ou partis politiques pour être diffusée dans le monde. Seuls les mal pensants donnent au mot « secte » la signification de « illuminés, détraqués, mythomanes » etc... etc.

Je tiens à préciser l'une des définitions du mot « secte », contenue dans tous les dictionnaires français.

SECTE : Réunion ou groupement de personnes ayant les mêmes idées et les mêmes affinités.

Compte tenu de cette définition officielle issue de la langue française, il serait donc de bon ton de qualifier de secte tous les partis politiques, toutes les religions, toutes les associations de défense quelles qu'elles soient, y compris les syndicats, les armées de l'air, de terre et de mer, les associations de philatélistes, de joueurs d'échecs et les associations sportives.

Les gens en général devraient parfois s'informer sur la valeur des mots avant de les prononcer, souvent à tort, mais surtout avec mauvais esprit.

Le mot « secte » ne doit être réservé qu'aux groupements et associations s'enveloppant de « dogmes », de « rites », de « magie » et pratiques plus ou moins « occultes », en adoration devant des idoles, ou déclenchant l'état de transe hystérique chez leurs « initiés ».

Mes contacts physiques et télépathiques avec des Extraterrestres que j'ai rencontrés en 1951, le livre que vous lisez, parlant de ces contacts, la communauté mondiale de l'ÉTOILE D'ARGENT que je dois créer, n'ont rien à voir avec les mots: Secte, Religion et Politique.

Les multiples personnes ayant été, au même titre que moi, contactées par des Extraterrestres de morphologie semblable à la nôtre, ont pour « mission » le clenchement d'une prise de conscience mondiale des lois naturelles universelles régissant le cosmos.

Si cette prise de conscience ne se fait pas:

« ALEA JACTA EST »

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