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LA VÉRITABLE ORIGINE DE L’HUMANITÉ
19 juillet 2020

USA, LE DRAPEAU DE LA HONTE

 

USA - le drapeau de la honte

Le dogme, voilà ce qui dirige notre monde

Abiotic oil

Brièvement et sans ambage, le pétrole n’est pas un “ produit fossile ” et n’a aucune relation intrinsèque avec les dinosaures morts (ou autres détritus biologiques.) “dans les sédiments” (ou où que ce soit ailleurs.)

Des guerres, des massacres, des mensonges, des trahisons sont perpétrés au nom du sacro-saint pétrole, de son contrôle, de la spéculation sur les prix et la production et des profits gargantuesques qu’ils génèrent.

Tout cela, semble-t-il, par le truchement d’une science bidouillée, comme l’est celle du soi-disant “ réchauffement climatique anthropique ” et son hypothèse non vérifiée érigée en dogme, comme l’est celle de la sociologie et les thèses malthusiennes et social-darwinistes érigées en dogme, comme le sont les hypothèses des économistes encore érigées en dogme pour justifier du pillage du monde, de la concentration des richesses en le moins de mains possibles et l’hégémonie perpétuelle d’une CASTE DE PARASITES qui exploitent l’humanité entière pour leur profit et le contrôle toujours plus avant des personnes et des biens... (NDLR. Le Coronavirus doit en faire partie; attendons que les langues se délient.)

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le pétrole (abiotique)

La théorie biotique qui n’est qu’une hypothèse, n’a jamais été réellement démontrée scientifiquement. Nous encourageons vivement les gens intéressés par cette affaire somme toute incroyable, car si la théorie abiotique est juste, tout ce qui a été dit sur le pétrole jusqu’à aujourd’hui, surtout les ramifications économiques telle la fameuse théorie du « pic pétrolier », ne serait que mensonges et balivernes créés pour satisfaire des besoins particuliers de contrôle et de profit au détriment de la science !

Théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique profonde du pétrole :

« Dans un monde de mensonge universel, dire la vérité est un acte révolutionnaire. » George Orwell.

« La suggestion que le pétrole puisse être dérivé d’une sorte de transformation de poisson compressé ou de détritus biologique est certainement la notion la plus idiote qui a été entretenue par un nombre substantiel de personnes pendant un laps de temps étendu. »

Fred Hoyle (1982).

« Il n’y a jamais eu d’observations faites d’une génération spontanée de pétrole naturel (pétrole brut) à partir de matière biologique à basse pression dans quelque laboratoire que ce soit, où que ce soit, jamais. »

J.F. Kenney

 

Une fois de plus, le pétrole et ses aléas viennent troubler la vie quotidienne des citoyens de France et d’ailleurs. Le pétrole est de fait la véritable monnaie d’échange du monde, bien au-delà des valeurs aléatoires des monnaies de singe utilisées pour les transactions globales.

Qu’est-ce donc que cet or noir ? D’où provient-il ? Quelles conséquences a-t-il sur nos vies et le monde ? La science sur laquelle est basée notre concept économique et d’exploitation du produit est-elle correcte ?

Le but de cet article est de montrer qu’il y a plus à penser que ce qu’on nous demande de croire et que la thèse consensuelle de la science sur l’origine biologique du pétrole est scientifiquement invalidée, que cela n’est pas dû à une “ erreur ”, mais bien à une volonté et ce à des fins de contrôle des ressources énergétiques et de ses prix.

A quoi pense-t-on lorsque l’on prononce le mot “pétrole” ? Le plus souvent au prix qu’il nous coûte à la pompe ou en fuel domestique de chauffage. Nous avons un rapport personnel au produit car nous en sommes les esclaves pour nous déplacer et éventuellement nous chauffer l’hiver.

Peut-on réduire le pétrole à sa seule valeur énergétique ?... C’est ce qu’on voudrait nous faire croire, mais il n’en est rien. En effet, il suffit de regarder autour de nous, dans nos vies quotidiennes, à quel point les produits dérivés du pétrole occupent une place prépondérante dans la société et son fonctionnement, pour comprendre que le pétrole et ses dérivés sont omniprésents. Nous sommes également devenus complètement dépendants de la pétrochimie. Sans elle, un nombre incalculable d’objets qui ont envahi nos vies ne pourraient plus être produits en l’état actuel des choses : plastiques de toute sorte, matières synthétiques, PVC, engrais industriels, caoutchouc synthétique (croyez-vous que les pneus de vos voitures proviennent toujours des hévéas?..) etc.

Nous ne disons pas que ceci est une bonne chose, bien au contraire, nous disons simplement que supposer que le pétrole ne soit qu’une source d’énergie que l’on peut remplacer est un peu trop simpliste et réducteur.

Doit-on remplacer le pétrole comme source d’énergie ? Oui, indéniablement, nous nous éviterions bien des conflits, guerres, et sources de pollution (attention ! pas le CO2 et autres fadaises liés au “réchauffement climatique anthropique” qui ne sont là encore que des dogmes issus de la science détournée se conformant à un agenda de contrôle bien spécifique, ici n’est pas le sujet, mais nous nous devions de le dire) qui minent à des fins oligarchiques le développement de l’humanité. Sortir complètement du pétrole n’est pas possible même si l’on trouvait une source d’énergie alternative fiable et durable, car nous en dépendons trop par ses produits de synthèse.

S’il faut trouver une énergie de remplacement, il faut également trouver une technologie de remplacement concernant la pétrochimie envahissante, ou jamais nous ne verrons les produits pétroliers disparaître de notre vie et de celles des générations futures.

Qu’est-ce que le pétrole ? C’est un hydrocarboné lourd, source à la fois d’énergie et de produits de synthèse une fois chimiquement manipulé. Le “consensus” scientifique (toujours se méfier de ce mot) dit que le pétrole est une source “d’énergie fossile”. C’est à dire que son origine provient de la décomposition d’éléments organiques comme des plantes et animaux morts, dans des conditions de temps, de chaleur et de pression propices à la croûte terrestre (c’est à dire peu profond et à des pressions peu importantes, ceci a une importance capitale comme vous le constaterez par la suite...).

Ceci a pris des millions d’années à se transformer et que donc en conséquence, le pétrole et les hydrocarbures sont des produits géographiquement localisés et finis dans le temps puisque émanant de la décomposition d’un volume de détritus organiques finis et donc épuisable.

Cette hypothèse a été émise en 1757 par le savant russe Mikhaïl Lomonossov. Nous avons donc cherché une littérature scientifique concernant cette hypothèse, ainsi qu’une littérature scientifique prouvant l’origine biologique (ou biotique) du pétrole. Nous pourrions penser que comme cette théorie est la théorie avancée de nos jours par l’ensemble de la science spécialisée dans le sujet de la recherche et de la production pétrolière, nous ne devrions pas éprouver en conséquence une quelconque difficulté à trouver une littérature scientifique riche et abondante corroborant ce fait...Quelle ne fut pas notre surprise de constater que non seulement il était difficile de trouver des articles scientifiques prouvant l’origine biotique du pétrole, mais encore que ceux-ci n’existaient pas !

Nous avons cherché sur un nombre important de moteurs de recherche en anglais et en français, nous avons épluché “Google scholar”, en vain. Chose même anecdotiquement extraordinaire, mais qui mérite néanmoins d’être mentionnée, lorsque nous avons tapé à plusieurs reprises les mots de recherche suivants sur Google : “scientific articles biotic origin oil”, Google lista à plusieurs reprises une liste d’articles n’ayant rien à voir avec le sujet demandé ou des articles connectant l’origine “biotique” à des domaines économiques et en haut de page figurait la question suivante : “ did you mean scientific articles abiotic origin oil ” à savoir : “ vouliez-vous dire articles scientifiques sur l’origine abiotique (donc non organique) du pétrole” ?

Ce qui peut être interprété de deux façons à notre sens : soit “ nous n’avons rien sur l’origine biologique du pétrole mais nous avons sur son origine abiologique / abiotique ” ou encore “ de quoi voulez-vous parler ?.. il est évident que le pétrole est biotique, vouliez-vous des preuves concernant l’origine abiotique ?

Donnons à Google le bénéfice du doute… En revanche, la littérature scientifique concernant une origine abiotique, non biologique donc, du pétrole était abondante et cela nous a intrigués. En tapant les termes suivants sur Google : “biotic origin oil” simple recherche sur une “origine biotique (ou biologique) du pétrole”, six sur les 10 premiers articles sortant sont à propos de l’origine abiotique du pétrole (non-biologique.)

Rien sur ce que nous demandions : des articles sur l’origine biotique du pétrole...

De plus en plus troublant. Wikipédia est de plus assez prolixe (prenez vos gardes lorsque vous lirez Wikipédia autant que vous en prendriez en lisant les évangiles) sur le sujet de l’origine abiotique du pétrole en déclarant d’entrée de jeu que “ la théorie abiotique de l’origine du pétrole a été discréditée ”, tiens donc…

Donc, nous tapons dans la fenêtre de recherche interne de Wikipédia les termes “ biotic origin petroleum” (puisque la terminologie de Wikipédia concernant le pétrole en anglais est petroleum” et non pas “oil ”, ce qui est plus spécifique, convenons-en), or que découvrons-nous avec stupeur? Qu’il n’y a pas de page sur Wikipédia concernant une origine biologique/biotique du pétrole. Intrigant non, lorsqu’il s’agit de fait de la théorie du “ consensus scientifique ” à cet égard ? La théorie officielle prévalent sur l’origine du pétrole n’ayant apparemment aucun soutien de la science, nous nous sommes donc penchés sur l’autre théorie de l’origine du pétrole, celle de l’origine abiotique, non biologique donc, qui elle semble avoir un soutien scientifique tout autre, loin d’une hypothèse érigée en dogme, comme cela semble être de plus en plus le cas lorsqu’on prend la peine de rechercher et de creuser le contenu de certaines “ théories scientifiques ”.

Récapitulons donc ce que nous savons jusqu’ici : le pétrole n’est pas une découverte récente, l’huile de roches ” était déjà utilisée dans l’Antiquité et était connue déjà au XVIIIe siècle lorsque Lomonosov énonça son hypothèse biotique. Celle-ci fut réfutée rapidement par le scientifique allemand Alexander Von Humboldt et le Français Gay-Lussac, puis au XIXe siècle les chimistes français et russe Marcelin Berthelot et Dimitri Mendeleïev (le même Mendeleïev qui laissa son nom à la table périodique des éléments chimiques) démentirent également l’hypothèse de Lomonosov.

Comme vous le verrez dans les articles subséquemment présentés, Berthelot constata et prouva que l’on pouvait obtenir du pétrole à partir d’éléments non organiques, mais ne prît pas position quant à l’origine du pétrole.

Mendeleïev quant à lui, fît clairement état que le pétrole était d’origine abiotique (non-organique) et profonde, qu’il était généré dans le manteau terrestre comme élément primordial et émît l’hypothèse que sa remontée vers des profondeurs moins importantes était due à un système de failles” sous-terrain.

Les choses en restèrent plus ou moins là jusqu’à l’après seconde guerre mondiale. Celle-ci laissa l’URSS sans ressource et comme un pays ne produisant qu’une infime portion du pétrole nécessaire à son développement énergétique, industriel et commercial.

Dès 1946, l’URSS lança un projet pour le pétrole comparable à ce que fut le “ Manhattan Project ” pour le développement nucléaire aux États-Unis. Le pays lança ses forces vives scientifiques spécialisées et survivantes à la guerre et aux purges staliniennes dans l’étude, la compréhension géologique et chimique du pétrole et de ses origines afin de mieux en maîtriser la recherche et la production.

En 1951, le Professeur Nikolaï Kudryavtsev annonça les résultats des recherches soviétiques par son académie des sciences en énonçant la théorie russo-ukrainienne de l’origine profonde et abiotique du pétrole ”.

Très vite, d’autres professeurs à la pointe des sciences concernées tels les professeurs Kropotkine, Dolenko,Shakhvarstova, Linetskii, Porfir’yev et Anikiev rejoignirent les conclusions du professeur Kudryavtsev. Depuis cette période, l’URSS, maintenant la Russie, est devenue progressivement le plus gros producteur et exportateur de pétrole au monde.

La théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique profonde du pétrole a fait l’objet de plus de 4.000 articles scientifiques publiés en Russie et en Ukraine par leurs académies scientifiques respectives et instituts de recherches géologiques et pétroliers. De vastes champs d’exploitation pétrolière ont été découverts et exploités utilisant la théorie abiotique et a permis aux Russes de développer et d’affiner leur technique de forage profond, dont ils sont les maîtres absolus aujourd’hui et de faire moins d’erreurs de localisation des gisements qu’avec l’application de la théorie biotique qui, elle, donne statistiquement un puits commercialement exploitable tous les 28 forages en moyenne, ce qui revient à laisser une très grande part de l’exploitation à la chance.

Plus proche de nous, deux professeurs américains ont expliqué la théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique du pétrole en occident, les professeurs J.F. Kenney (M.I.T alumni) et membre de l’académie des sciences de Russie, qui travailla avec les Russes dès 1975 et dont certains des articles scientifiques écrits avec d’éminents chercheurs russes et ukrainiens, ont été traduits de l’anglais et seront publiés ici-même pour que le lectorat puisse se faire une idée informée et non déformée de la question.

En effet, ces articles souvent cités, parfois hors contexte, n’ont jamais été traduits en français à notre connaissance et la raison nous échappe. Nous les référençons également ci-après en anglais ainsi que le site internet du Professeur Kenney. Également le professeur Thomas Gold, astrophysicien, professeur à l’université de Cornell et membre de l’Académie Nationale des Sciences des États-Unis, fut un adepte de la théorie abiotique du pétrole. Le professeur Gold écrivit un livre en 1999 intitulé : “ The Deep Hot Biosphere, the myth of fossil fuel ” (La biosphère chaude profonde, le mythe du carburant fossile). Ce livre n’a pas été traduit en français à notre connaissance et cela devient lourd. Nous n’allons pas entrer ici dans les détails de la théorie, mais dans la traduction de l’anglais des articles clés afin que tout un chacun puisse lire et comprendre de quoi il retourne par ceux-là même qui l’on étudié de très près.

Dû au volume d’information, ces articles seront publiés ici-même dans les semaines à venir en plusieurs parties. Nous vous laisserons seuls juges du bien-fondé de la chose.

Si la théorie russo-ukrainienne abiotique profonde du pétrole est juste (comme la solide science qui l’étaye semble le confirmer), quelles sont donc les implications directes et indirectes de la chose ?

Si la théorie est juste, le pétrole n’a donc aucune origine biotique. Il est un produit primordial dont la genèse a lieu dans le manteau terrestre à de grandes profondeurs et dans des conditions de chaleur et de pression très élevées (minimum 25Kbar). Ce qui veut dire que la quantité de pétrole générée par la Terre n’est fonction que de la quantité de matériaux primordiaux impliqués à la formation originelle de la planète. Cette source n’est pas “épuisable” à l’échelle humaine et la genèse en est constante. La théorie de l’ingénieur Hubbert sur le “ pic de production pétrolier ” (ingénieur de la Shell qui émit sa théorie en 1956) est fausse, ce qui a été corroboré à maintes reprises dans la mesure où des gisements pétroliers sont constamment découverts en Russie et ailleurs dans le monde et ce dans des endroits qui seraient improbables à la découverte et l’exploitation pétrolière en suivant les canons de la théorie biotique de l’origine du pétrole. Ceci a donc des répercussions économiques et géopolitiques : les prix du pétrole sont essentiellement spéculatifs en induisant un facteur de scarcité qui a été créé de toute pièce à des fins commerciales (profit) et de contrôle géopolitique (des prix et de la recherche/exploitation ainsi que des zones géographiques par ingérence, guerres ouvertes directes ou guerres par proxy).

Michael Lynch, un chercheur au Centre des Études Internationales au MIT, écrit en conclusion de son article The New Pessimism about Oil Resources : Debunking the Hubbert Model (and Hubbert Modelers).

« Le nombre d’inconsistances et d’erreurs couplé avec l’ignorance de la plupart des recherches antérieures, indiquent que l’école du modèle de Hubbert n’a pas découvert de nouveaux résultats dévastateurs, mais a plutôt rejoint un groupe qui a trouvé qu’un grand corps de données mène souvent à une forme particulière de laquelle ils essaient de deviner des lois physiques. Le travail des adeptes de la théorie de Hubbert a été prouvé incorrect en théorie et basé lourdement sur des hypothèses que les preuves factuelles démontrent comme étant fausses. Ils ont, de manière répétée, mal interprété les effets politiques et économiques comme étant le reflet des contraintes géologiques et mal compris la causalité de l’exploration inhérente, de la découverte et de la production. Le problème majeur des modèles de type Hubbert est une dépendance à une variable URR (Ultimate Revoverable Resources) comme un chiffre statistique plutôt qu’à une variable dynamique, qui change avec la technologie, la connaissance, l’infrastructure et d’autres facteurs, mais qui croît en premier chef. Campbell et Laherrere ont clamé avoir développé de meilleures méthodes analytiques pour résoudre ce problème, mais leurs propres estimations ont augmenté et vraiment rapidement. Le résultat a été exactement comme prédit par Lynch (1996) pour cette méthode : une série de prédictions de pic de production pétrolière à terme et un déclin, qui doit être révisée à la hausse répétitivement dans le futur. Ceci de manière suffisamment conséquente de façon à suggérer que les auteurs eux-mêmes fournissent les preuves que les ressources pétrolières ne sont pas sous stress, mais augmentent de fait plus vite que la consommation ! »

Le modèle de pic pétrolier d’Hubbert est donc déjà mis en question sans même aborder la question de l’origine du pétrole. Qu’en dire donc à la lumière de la théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique profonde du pétrole ?

Est-ce déjà une coïncidence que la théorie d’Hubbert fut énoncée en 1956, soit environ 5 ans après que la théorie abiotique fut énoncée par le professeur Kudryavtsev ?

Un évènement isolé peut paraître souvent anodin, mais replacé dans son contexte, cela peut prêter parfois à d’autres interprétations. La théorie du “ pic de production pétrolier ” et les modèles qui s’en suivirent ne furent-ils pas produits pour surenchérir la thèse biotique et donc ainsi garantir aux compagnies pétrolières une nouvelle base de régulation des prix du pétrole à long terme en jouant en permanence sur la rareté induite et non réelle du produit? Possible, probable...certain.

Comme le chantait Daniel Balaboine: " Les lois ne font plus les hommes mais quelques hommes font la loi".

En tous les cas la question se doit d’être posée. Ainsi donc, à la lumière de la théorie abiotique du pétrole, celui-ci ne serait pas un produit fini dans le sens où la théorie biotique l’entend. Il ne serait sujet dans sa formation profonde qu’à la quantité de matières carbonée et minérale inclues dans le manteau terrestre à la formation de la terre il y a plus de 4(?) milliards d’années (NDLR. Je reste très perplexe quant à cette datation). Une nouvelle méthode de datation baptisée ‘Chlorine 23’ vient d’apporter quelques méchantes modifications de l’âge donné à nombre d’objets et de lieux tel que Stonehenge qui vient de voir son existence passer de 5000 à 25000 ans. Ce qui change bien des choses. Quant à l’âge de notre univers, je dirai que celui-ci ne se calcule pas en milliards d’années mais en dizaines de billions. Il ne nous reste plus qu’à attendre les révélations qui, j’en suis certain, vont remettre tout, absolument tout en question.

Restera-t-il une seule chose de vraie parmi toutes les conneries que le système aura décidé de nous inculquer. Franchement, je n’en suis pas certain !

http://resistir.info/livros/petroleo_abiotico.pdf

 

 

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Commentaires
G
Bullshit
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