Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
LA VÉRITABLE ORIGINE DE L’HUMANITÉ
3 février 2020

SOLEIL INTÉRIEUR DES PLANÈTES

 

 

SOLEILS INTÉRIEURS ET TORNADES INTELLIGENTES

Tempêtes, ouragans (Hurricanes en anglais), bourrasques, tornades, typhons, ecnéphies, tornados, trombes, tous ces mots désignent des tourbillons à axe vertical.

La simple constatation de leur formation nous fait découvrir que, en tournant sur eux-mêmes à des vitesses très élevées, ils emportent dans leur entonnoir tout objet qu'ils rencontrent sur leur chemin pour les rejeter par la suite. Cette aspiration se produisant par l'intérieur creux de ceux-ci. Si cette formation est propre à la création des cyclones et trombes, pourquoi n'en serait-il pas ainsi pour la formation des planètes.

L'Histoire des Sciences nous apprend également comment on arrive à la vérité. Elle nous montre aussi que l'esprit humain s'attache parfois à certaines erreurs et les défend longtemps avec une unanimité singulière, bien qu'elles soient profondément nuisibles au progrès puisque, un jour ou l'autre, elles s'avéreront complètement ineptes. Mais ces "erreurs" ne sont pas toutes anodines, loin s'en faut. Personne ne s'est d'ailleurs demandé qui avait préconisé que c''était ainsi et pas autrement.

J'ai toujours été convaincu que l'enseignement reçu n'était que ramassis de colossales inepties. Pourquoi? me direz-vous. Je vous répondrai: parce que les vérités d'hier sont inepties d'aujourd'hui et les vérités d'aujourd'hui sont inepties de demain.

Avec un minimum d'intelligence complétée par un super minimum de connaissances, on ne peut pas concevoir, un seul instant, que ce qui est EST et qu'il ne pourra en être autrement.

La planète Terre, centre de l'univers d'il y a quelques siècles, est devenue aujourd'hui un grain de sable parmi les trillions de trillions de grains qui composent nos déserts, plages et océans. Et l'enseignement décidé par l'Establishment, la Kabbale, que nous avons reçu depuis notre plus jeune âge n'a plus aucune signification. Rien n'a de vérité, tout est théories et toutes ces théories parlent d'elles-mêmes.

Selon l'histoire, le 20 juillet 1969, l'Homme a posé le pied sur la Lune. La vidéo ci-dessus nous présente le décollage de la fusée, des images de la Lune et quelques pas des astronautes. Au vu de la médiocrité des images, on est en droit de se demander comment il a été possible de réaliser une telle prouesse, surtout en 69. En outre, si l'on avance à la seconde 42 cette même vidéo, on y découvre au pôle Nord une colossale ouverture qui, selon l'amiral Byrd, fait plus de 2200 km de diamètre et donne accès à la Terre intérieure, Cette entrée, toujours selon Byrd, se repète au pole Sud, et ces 2 entrées se rejoignent et permettent d'y voyager sans encombre. Depuis 1956, le gouvernement américain y a placé une dizaine de milliers d'individus, tant militaires que scientifiques, mais pour quoi faire? Plus personne ne peut y accéder et les 2 pôles sont interdits de survol par les compagnies aériennes.

En Astronomie, sans remonter à l'immobilité de la Terre, on avait la conviction que les orbites des planètes devaient être des cercles parfaits parcourus d'un mouvement uniforme. Cette opinion a régné jusqu'à Képler, l'auteur des trois Ibis qui ont fait disparaître cette idée fausse et frayé la route à Newton, lequel, rappelons-le, a fait partie du Prieuré de Sion.

En Chimie, la conviction que l'agent d'universelle transformation était le phlogistique a régné jusqu'à Lavoisier.

En Physique, le système de l'émission de la lumière a régné jusqu'aux temps de Young et de Fresnel.

En Météorologie, la croyance que les tempêtes naissent au ras du sol règne encore de nos jours. Vers 1830 et 1840, d'habiles explorateurs tels que Redfield, Reid, puis Piddington, avaient étudié les tempêtes et découvert les lois de leurs mouvements circulaires. Aussitôt les météorologistes, M. Espy, des États-Unis, en tête, les accusèrent d'erreur; d'après eux les mouvements n'étaient pas circulaires, mais centripètes. A cela les auteurs des lois des tempêtes répondaient modestement « Nous ne cherchons pas comment les tempêtes naissent, mais comment elles marchent ».

Alors , que faire, que dire ?

Depuis que le monde est monde un courant d’air froid qui rencontre un courant d’air chaud dans la couche atmosphérique appelée troposphère (du sol à environ 9/18 kilomètres) génère un bouleversement climatique qui peut engendrer un orage, si ce phénomène se forme dans une zone qui se situe près du sol, il peut y avoir formation d’une tornade.

Depuis 1970, il est possible d’analyser les paramètres pour comprendre une tornade grâce au radar Doppler. On peut mesurer les vitesses, notamment celles des courants ascendants de la colonne d’air montante, de la rotation appelée vortex, etc . . .On constate que depuis un peu plus d’une décennie les phénomènes atmosphériques se sont considérablement développés en nombre, en puissance et surtout apparaissent dans des régions inhabituelles. Néanmoins, l’essentiel reste à ce jour la non compréhension pour les scientifiques de la dynamique exacte des tornades.

Explications succinctes :

Le vortex qui a généralement une forme en entonnoir (le tuba) ne se forme que si la chute de pression dans le cœur dépasse une valeur critique en fonction de la température et de l'humidité de l'air entrant au sol. Quand l'air pénètre dans la zone centrale de basse pression, il se dilate et se refroidit en condensant la vapeur d’eau qu’il contient en gouttelettes.

Détails : le mouvement ascendant de la colonne montante génère l’énergie cinétique (mécanique) du déplacement, ce qui génère la puissance de la tornade. L’air aspiré au sol est généralement humide et plus il s’élève, plus il se refroidit, jusqu’à un niveau appelé "point de rosée" ou niveau de condensation ascendante, à partir duquel la vapeur d’eau commence à se condenser. Ce cycle est immuable. La condensation libère de la chaleur qui diminue à son tour la vitesse de refroidissement de la masse d’air ascendante. Lorsque cette masse d’air arrive à une altitude où elle devient plus chaude que l’air environnant, le point d’équilibre est appelé niveau de convection libre.  

Cet aspect physique des tornades n’avait jusqu'à cette dernière décennie pas grande importance car les irradiations issues des champs électromagnétiques artificiels du spectre des hyperfréquences micro-ondes qui agissent notamment sur les molécules d’eau n’existaient pas ou peu dans l’environnement. Aujourd’hui, il en est tout autrement…

Soumis à une irradiation (induction) électromagnétique artificielle supérieure des millions de fois aux champs électromagnétiques naturels notamment dans des faisceaux de plusieurs dizaines de watts, les tornades du XXIe siècle ainsi "boostées" vont-elles devenir des "réacteurs" ?

Voici 2 témoignages assez éloquents :

Témoignage sur la formation de la tornade de Jacques David à PONT-SUR-SAMBRE

«  Je me suis demandé ce que c'était. L'apocalypse ? C'est difficile à dire. Ça ressemblait à un feu de forêt rouge violet sans flamme. Comme une grosse ligne de couleurs qui partait, avec ce ronflement derrière. Je n'ai pas pensé à une tornade, j'ai juste cru que c'était la fin du monde. » 

 À cet instant, le temps est à "l'orage magnétique". La pluie ne reprendra que plus tard.

Témoignage de "Darksheer" :

" . . . Mais ce qui m'a le plus choqué dans cette nuit, c'est le ciel. Même à Valenciennes, nous avions beaucoup de pluie, des petites inondations dans les rues, mais c'est surtout ces éclairs, d'une intensité que je n'avais jamais connue, mais aucun coup de tonnerre, aucun bruit, mis à part la pluie tombant fortement.... "

 

Terre creuse

Terre creuse 2

 

Publicité
Publicité
Commentaires
LA VÉRITABLE ORIGINE DE L’HUMANITÉ
Publicité
Archives
Publicité