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LA VÉRITABLE ORIGINE DE L’HUMANITÉ
28 novembre 2016

La science et l'armée doivent remercier les Aliens et leurs Ovni

Histoires extraordinaires d'outre espaceParler de contacts avec des civilisations extraterrestres fait, en France, partie des sujets politiquement incorrects et religieusement suspects.

Pourtant, depuis la plus haute antiquité, les visites “ célestes ” n’ont jamais cessé : les Adonaï (Seigneurs du ciel) sont mentionnés dans la bible; Cicéron, Plutarque, Sénèque, Xénophon parlaient déjà de “ cloches ”, d’assiettes et d’écus de feu dans le ciel; les temples Maya, Toltèques et associés montrent sur leurs bas-reliefs des vaisseaux de l’espace et des cosmonautes; la mythologie grecque relate abondamment l’histoire des hommes-dieux venus du ciel qui ont engendré des surhommes avec les filles terriennes...

Depuis plus d’un demi-siècle, des milliards de dollars sont alloués par les gouvernements pour étouffer ou ridiculiser les centaines de milliers de témoignages individuels et collectifs enregistrés sur les vaisseaux spatiaux et les contacts E.T.

Néanmoins, divers cosmonautes revenus bouleversés par les rencontres qu’ils ont vécues dans l’espace, ont fini, après des années, par lâcher les secrets qu’ils avaient dû garder sous la menace des pouvoirs en place.

Depuis longtemps, les peuples ont été maintenus dans un niveau d’ignorance puérile face à la dimension galactique de notre histoire, et aux mécanismes de notre incessante ascension universelle.
Pourquoi? Pour de simples raisons de pouvoir total sur l’humanité, dont certains dossiers de cet ouvrage dévoilent les évidences historiques.
Nous abordons actuellement le dangereux virage de cette imminente fin de cycle planétaire par une brutale constatation du décalage fatal entre notre vertigineuse évolution technologique et notre barbarie résiduelle. Le temps est venu pour que le pesant couvercle des grands mensonges culturels saute.

Puissent les passionnants dossiers de cet ouvrage conforter vos secrètes aspirations intérieures, et vous faire prendre conscience de votre véritable identité, de votre véritable trajectoire…….et de votre réelle immortalité.

Base Arturo PratJusqu'en 1948, année où des baleiniers, de retour de l'Antarctique, racontèrent avoir aperçu de nombreux et étranges objets en forme de disque dans le ciel du pôle Sud, les savants ne s'étaient guère intéressés à ces immensités glacées. A la fin 1949, la marine chilienne envoyait le capitaine de frégate Auguste V. Orrego dans l'Antarctique avec une partie de la flotte du Chili. Il rapportait de son expédition des centaines de mètres de film où l'on voyait des objets de ce genre faire le tour des navires de son unité, notamment à la base antarctique chilienne d'Arthur Prat. Ces films furent remis au gouvernement chilien le 23 février 1950, le jour même où Orrego en révélait le contenu aux journalistes. Depuis ce jour, ils n'ont plus été projetés en public.

Depuis que l'on a signalé cette apparition d'OVNI aux deux pôles, de 1947 à 1949, toutes les grandes nations du monde se sont lancées dans des "programmes de recherche scientifique" dans l'une des régions polaires quand ce n'était pas dans les deux. On dirait que les films du capitaine Orrego ont déclenché une grande "ruée vers le froid". L'URSS, la Suède, la Norvege, le Canada, les US, l'Argentine, le Chili, l'Australie, la France, et la Grande-Bretagne, s'occupèrent toutes de recherches dans le désert glacé de l'Antarctique. En trois ans, de 1948 à 1951, on y expédia plus d'hommes, d'argent et de matériel, qu'on ne l'avait fait dans les deux siècles précédents.

Cette ruée, d'apparence concertée, n'était-elle qu'une coïncidence? Que l'on réponde par l'affirmative ou la négative, il n'en est pas moins vrai qu'elle est un des événements qui ont suivi l'apparition des OVNI. Une fois encore, ces événements peuvent être le fruit du hasard, comme ils peuvent ne pas l'être.

wilbert smithVoyons les faits. L'étude consacrée aux soucoupes, le "Project Magnet" (Projet Aimant), avait permis aus canadiens de constater qu'il se produisait des perturbations électromagnétiques quand apparaissait un OVNI et qu'ils avaient fabriqué des détecteurs très simples capables d'avertir les enquêteurs quand un OVNI pénétrait dans leur région. Le chef du projet, Wilbert Smith, avait déclaré, au cours d'une conférence de presse à Washington, que ses collègues et lui avaient essayé de construire un engin en forme de disque capable de convertir le champ magnétique en une quantité d'énergie utilisable suffisante pour lui permettre de s'élever, mais qu'ils avaient dû abandonner le projet parce qu'il exigeait des connaissances scientifiques supérieures à celles qu'ils possédaient.

Nous ne savons pas grand chose, au fond, de la nature de la gravité. Nous ignorons si elle pousse ou si elle tire ou si elle fait l'un et l'autre. Par les sondes que nous envoyons dans l'espace, nous avons appris que la gravité existe plus ou moins partout entre les planètes que nous avons réussi à atteindre jusqu'ici. Un procédé qui permettrait de convertir la gravité en une énergie utilisable serait donc le système de propulsion idéal pour traverser les vastes étendues du système solaire et aller au-delà. Mais il nous faut d'abord trouver ce procédé.

Hermann OberthAyant étudié le problème des OVNI pour le compte de l'Allemagne de l'Ouest, le docteur Hermann Oberth déclara à une conférence de presse, que ses collègues et lui pensaient que ces objets se propulsaient en déformant le champ de gravitation et en le transformant en une énergie utilisable. D'après la théorie scientifique du champ unique, qui soutient que l'électricité, la gravité et le magnétisme, sont des expressions différentes de la même forme d'énergie, il se peut que la conclusion du docteur Oberth et de ses collègues soit exacte.

Les recherches sur la gravité ont été longtemps la chasse gardée des visionnaires et des originaux. La science classique soutenait que l'homme était attaché à la terre par la gravité, qu'il l'avait toujours été, et que, par conséquent, c'était folie de penser qu'il pourrait apprendre à se libérer de cette chaîne.

docteur Charles FA l'époque où le docteur Oberth faisait sa remarquable déclaration sur les OVNI et la propulsion par gravité, on s'intéressait tellement dans les milieux scientifiques à la question qu'elle ne suscita pas la vague de critiques qu'elle aurait provoquées vingt ans plus tôt. Un grand nombre de chercheurs étaient déjà en train d'étudier de vieux livres et de vieux rapports poussièreux pour y lire ce que les recherches scientifiques passées avaient permis d'apprendre, et certains d'entre eux se penchaient déjà avec beaucoup d'intérêt sur les rapports du docteur Charles F. Brush, ingénieur, licencié et docteur ès sciences, qui, en 1926, avait annoncé à ses collègues qu'il avait découvert d'étranges propriétés chez une roche dénommée le basalte de Lintz. Il avait découvert tout d'abord qu'elle dégageait plus de chaleur et ensuite qu'elle n'accélérait pas en chute libre comme elle aurair dû le faire pour obéir aux lois de la gravitation. Elle ne désobéissait pas à la pesanteur et elle ne lui obéissait pas non plus. Ne s'expliquant pas la chose, le docteur Brush s'était contenté de la signaler.

Les savants contemporains du docteur Brush considérèrent son rapport comme intéressant, mais pas forcément important. Il avait ouvert une voie qu'il considérait comme méritant d'être explorée plus avant mais personne ne s'y intéressa. On classa donc ses travaux et on les oublia, durant trente ans. En avril 1957, J.E.Surrat, vice-président d'une association d'ingénieurs aéronautiques, annonçait que cinq grandes entreprises américaines se livraient à des recherches anti-gravité financées par le gouvernement.

Il existait déjà, à cette époque, à Wright Field, Dayton, Ohio, c'est à dire au centre des recherches du département de la Défense sur les OVNI, des installations de plusieurs millions de dollars qui avaient été construites pour faire des recherches sur l'anti-gravité et les forces anti-gravité.

Dans le numéro d'octobre 1953 d'Electrical Manufacturing, il avait paru déjà un intéressant article révélant les efforts faits dans ce domaine. Il avait pour titre: "L'armée de l'air subventionne des recherches sur le magnétisme", et il exposait que l'Indiana Steel Products Company venait d'être chargée d'étudier trois questions intéressant le magnétisme: les nouveaux alliages magnétiques possibles, les propriétés du magnétisme et la théorie du phénomène magnétique, ainsi que la recherche appliquée, la construction et les applications, et qu'un comité consultatif allait être formé pour coordonner ces recherches avec celles qui se poursuivaient déjà, dans ce domaine, ce qui confirmait que le projet en question faisait partie d'un programme beaucoup plus vaste.

Au début 1958, les entreprises Inland Steel, Sperry-Rand, General Electric, Lear Instruments, Hugues Aircraft et United States Steel, participaient elles aussi à cette grande tentative d'exploration des secrets de la gravité.

True magasine 1966Le numéro de janvier 1966 de True affirmait qu'il y avait à l'époque quarante-six projets de recherches sur la gravité, subventionnés par...les militaires. Toutes ces recherches qui demandent du temps et de l'argent avaient commencé après l'apparition des OVNI, après que leur vol silencieux, défiant la pesanteur, eut fait soupçonner qu'en réalité ils ne "défiaient" pas la gravité mais l' "utilisaient". Nouvelle coïncidence, vraiment?

La ruée scientifique vers l'Antarctique qui suivit la découverte, grâce à des photographies, que les OVNI y étaient très actifs, eut, en outre, une conséquence intéressante: elle fit soupçonner qu'il y avait une raison particulière pour que cette grande activité eût lieu aux pôles, alors qu'elle était si faible du côté de l'équateur. Quelle pouvait bien être la raison pour laquelle les OVNI préféraient les pôles?

Deux hypothèses se présentaient: la première selon laquelle des OVNI préféraient le froid, la seconde selon laquelle il devait y avoir au-dessus de l'équateur quelque chose qui faisait qu'ils ne désiraient pas y atterrir. Les OVNI utilisant indifféremment les deux régions polaires, l'explication par la température ne paraissait pas s'imposer de façon transcendante. Les OVNI entrant dans notre atmosphère aux pôles et étant repérés par la suite, se rendant d'un pôle à l'autre, on se mit, dès qu'on fut capable de construire des fusées pouvant emporter aux très hautes altitudes les instruments nécessaires, à étudier l'espace au-dessus de l'équateur. Quelques savants peu nombreux avaient avancé, au début du siècle, qu'une telle étude confirmerait leurs soupçons, si on pouvait la faire.

Le 2 mars 1958, on annonçait que deux satellites Explorer avaient confirmé, de façon définitive, l'existence, à une altitude de 1 000 km environ autour de l'équateur, d'une ceinture de radiations intenses, Cette ceinture porte aujourd'hui le nom de ceinture de Van Allen; du nom d'un de ceux qui avaient prévu son existence. Il n'y a rien de semblable au-dessus des régions polaires, et sa vraie nature fut une surprise même pour ceux qui avaient prévu son existence. Le New York Times a cité en effet des propos de ces savants disant que les radiations étaient mille fois plus puissantes qu'ils ne l'avaient pensé. C'était une ceinture dangereuse et il valait mieux que l'homme ne s'aventurât point à la traverser, ce que les OVNI semblaient eux-mêmes éviter.

Quand il apparut que les OVNI préféraient pénétrer dans notre atmosphère uniquement par les pôles, la science se hâta d'étudier l'espace au-dessus de l'équateur...et découvrit une large ceinture de radiations dangereuses. Coïncidence ici encore?

Clyde WNous avons déjà vu que de nombreuses nations avaient mis sur pied un programme de construction d'instruments géants afin de détecter les signaux provenant de l'espace, et de repérer les satellites inconnus qui traversent notre partie du système solaire. En 1952, le célèbre astronome Clyde Tombaugh avait fait savoir que l'armée de terre l'avait nommé directeur d'un programme visant à repérer et à étudier deux étranges satellites qui avaient été détectés à plusieurs reprises. C'était cinq ans avant la mise en orbite du premier satellite soviétique. Comme on le verra, lorsqu'on s'occupera de notre programme spatial, il y a eu près de la Terre plusieurs de ces étranges objets, à divers moments de la première décennie du phénomène OVNI. Et leur détection fut suivie de la création d'énormes instruments permettant de les repérer, instruments qu'on nomma radiotélescopes. Notons encore ici l'étrange relation chronologique, déjà constatée chez tant de projets scientifiques subventionnés par les militaires au cours des dernières années, entre l'apparition de ces satellites autour ou près de la Terre, et le développement d'un projet qui semble être en rapport direct avec eux. Coïncidence? Peut-être.

A de nombreuses occasions, dont certaines remontent aux dernières années du XIXe siècle, des officiers et des hommes d'équipage de nombreux navires ont raconté avoir vu des engins en forme de disque plonger dans la mer ou en sortir. Un de ces récits date de 1955: l'équipage d'un pétrolier de la Gulf Oil Company signala aux autorités qu'il avait vu un énorme objet, circulaire, biconvexe, et qui laissait une traînée de fumée derrière lui, plonger, en plein jour, dans le golfe du Mexique, à quelques centaines de mètres seulement de leur navire.

La soucoupe plongeante de CousteauDéjà en 1953, un caboteur qui transportait des passagers avait signalé avoir vu, à quelques kilomètres au large de l'Italie du Sud, un objet en forme de disque sortir de l'eau. Comme, avec les années, on signalait de plus en plus de spectacles de ce genre, on vit se développer un étonnant corollaire: l'homme commença à expérimenter pour la première fois un engin sous-marin en forme de disque. On a pu lire, dans le numéro d'avril 1960 du National Geographic, un intéressant article sur ce sous-marin d'un type radicalement différent. Son inventeur était le célèbre spécialiste du monde sous-marin, Jacques Cousteau. Il l'avait baptisé la "soucoupe plongeante".  Cette forme qui paraît faite pour la navigation dans l'atmosphère, semble l'être également pour la navigation sous-marine. Depuis des années, on a aperçu des engins d'une forme semblable dans les deux éléments. L'homme les essaie maintenant lui-même.

A cette liste qui s'allonge toujours de coïncidences, il faut, en tout cas, ajouter les suivantes: l'explosion des premières bombes atomiques construites par l'homme en 1945 fut suivie, en 1946, de l'apparition d'un grand nombre d'OVNI. Parmi la masse des apparitions d'OVNI au-dessus des U.S., il y en eut de nombreuses autour des installations atomiques de Hanford et d'Oak Ridge ainsi qu'autour du terrain d'Alamogordo NM, où avait été essayé le premier engin atomique. Si c'était les installations où nous nous occupions d'énergie atomique qu'ils cherchaient en 1947, ils ne s'étaient pas trompés.

Les lacements de fusées V2 sur le champ de tir des White sands, en 1948, furent également suivis de visites d'OVNI. Il existe une bande de l'interview de Charles Swartz, en 1948, responsable du radar de White Sands, lors d'une de ces apparitions d'OVNI. L'objet, qui avait la forme d'un disque, s'était élevé à 1600km/h, en même temps que le V2 dont il faisait le tour. On l'avait suivi avec des jumelles, des télescopes, des théodolites et au radar. Il avait dépassé la fusée à quelque 9 000km/h et avait disparu dans l'espace. Le 24 avril 1949, les savants de White Sands repéraient un nouvel OVNI. L'affaire a été racontée en détail, dans le numéro de mars de True, par le capitaine de vaisseau R.B.McLaughlin.

Entre 1949, date à laquelle ces objets en forme de disque suivirent les fusées, et la fin de 1957, date du lancement du premier satellite artificiel, les comptes rendus d'apparitions d'OVNI les montrent s'occupant d'accompagner navires, avions, trains et automobiles ainsi que de surveiller systématiquement les installations militaires, les centres industriels et les nœuds ferroviaires les plus importants du monde entier.

LaïkaTout de suite après le lancement spectaculaire de leur premier spoutnik, les savants soviétiques eurent de nouveau droit aux grands titres des journaux, à l'occasion de l'envoi, le 3 novembre 1957, du second spoutnik qui transportait un passager vivant, la chienne Laïka.

A cet événement mémorable succéda, quelques heures plus tard, une offensive d'OVNI qui déconcerta le Pentagone. Un objet rouge flamboyant qui mit en court-circuit l'allumage des voitures qui l'approchèrent, atterrissait sur une route, près de Levelland. Quelques heures plus tard, une autre chose très lumineuse se posait brièvement dans un recoin du champ de tir de White Sands. Elle fut signalée par trois patrouilles militaires différentes qui l'avaient aperçue de trois endroits différents du terrain.

Les gens du Pentagone, qui sont toujours prêts à tout expliquer, affirmèrent que l'énorme objet en forme de dirigeable qui avait atterri sur la route de Levelland n'était rien d'autre qu'un "éclair en boule" (qui n'atteint jamais plus de 50cm de diamètre). Quant à la chose brillante qui s'était posée sur le champ de tir de White Sands, eh bien, c'était tout simplement la ...planète Vénus!

C'était, vous savez bien, une de ces nuits célèbres dans les annales de l'astronomie où Vénus descendit un instant du ciel pour s'étendre sur le sable du Nouveau-Mexique, ou tout au moins, c'est ce qu'affirmaient les officiels.

A peine venait-on de placer un homme sur orbite que les OVNI commençaient à se montrer en nombre et à signaler leur présence en mettant en panne nos appareils électriques.

La malheureuse Laïka attira elle aussi l'attention des OVNI et à ce moment-là, démarra une phase intéressante et importante du programme spatial, comme on le verra. Les savants soviétiques qui avaient placé la malheureuse chienne sur orbite, voulaient savoir comment fonctionnaient son coeur et ses autres organes dans l'état d'apesanteur. Ils avaient donc relié son corps à des émetteurs qui rendaient compte à intervalles réguliers de la condition physique de la voyageuse. L'un des nombreux savants qui, dans toutes les parties du monde, suivaient la capsule comme ils le pouvaient, le docteur Luis Corrales, de Carracas Vénézuela, prit, seize jours après la mise sur orbite de Laïka, c-a-d au début de la soirée du 18 décembre, un film photographique du passage de Spoutnik II. Il enregistra non seulement la piste lumineuse de la capsule spatiale soviétique mais aussi une seconde piste qui indiquait que la capsule était accompagnée par quelque chose qui était dirigé intelligemment.

Les savants qui examinèrent les photographies remirent à la presse une déclaration dont El Universal publiait, le 19 décembre 1957, les conclusions ci-après: " Cela ne peut être une double impression car les étoiles auraient donné aussi deux images sur le film, ce qui n'est pas. Cela ne peut pas être non plus un reflet interne, car cette trajectoire n'est pas la reproduction de celle du Spoutnik. Ce n'est pas une rayure du film, car, à l'agrandissement, l'examen révèle qu'il s'agit d'une précipitation de l'émulsion sur le film photographique, et elle n'a pu être causée que par la lumière. L'appareil photographique a photographié quelque chose que nous ne sommes pas capables d'identifier...La piste lumineuse qui court parallèlement à la piste du satellite est-elle la trajectoire suivie par un autre corps, qui serait devenu lumineux pendant une courte période? Si oui, c'est une hypothèse difficile à prouver ".

On voit très bien sur la photographie la longue trajectoire toute droite du spoutnik qui transportait la chienne. On voit nettement, à côté de celle du spoutnik, une seconde piste qui ne représente qu'un septième environ de la première. La nature de ce second objet est révélée par un changement de direction très visible: il s'est écarté du spoutnik pour revenir ensuite à ses côtés. Quelque chose ou quelqu'un jetait un coup d'oeil sur le premier satellite artificiel portant un être vivant, bien qu'à ce moment la chienne fût morte.

La conquête de l'espace par l'homme était commencée, et elle était déjà l'objet d'une enquête de la part de quelque chose ou de quelqu'un venant d'outre-terre.

Une mort coïncidente

Le vendredi 23 juin 1967, quelques heures avant minuit, Frank Edwards meurt d'une crise cardiaque. Le lendemain, à l'hôtel Commodore de New York, James Moseley qui héberge la 1ère Convention Mondiale sur les Ovni — officiellement appelée Congrès des Ufologues Scientifiques — fait la terrible annonce : Votre attention s'il vous plaît, dit-il à une foule se taisant de 2000 personnes. Nous venons juste d'apprendre une nouvelle terrible. Frank Edwards, l'auteur d'émissions et champion des soucoupes volantes, est mort d'une crise cardiaque aujourd'hui. Il avait 59 ans. Moseley fait une pause alors que les personnes assemblées sont consternées. Je n'ai pas besoin de vous rappeler l'extrême étrange coïncidence de cette nouvelle, poursuit Moseley, que la mort de Frank Edwards ait lieu 20 ans après - jour pour jour - que les ovni aient fait la une des journaux pour la 1ère fois en Amérique. Ce fut le mardi 24 juin 1947, que Kenneth E. Arnold fit sa fameuse observation de 9 soucoupes volantes. La coïncidence est en effet surprenante, mais à quelques heures près.

Était ce vraiment naturel ou provoqué?

A suivre

Source Frank Edwards - "Soucoupes volantes affaire sérieuse".

 

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